[Recueil de Poèmes] Le Poète dans la Tour

La vie comme femme infidèle
Nous vient au début puis part sans nous prévenir a tire d'aile
lorsque l'on a encore besoin d'elle.

La mort comme une mère immortelle qui nous suit du début à la fin
car il y a forcément une fin
à "il était une fois".

Chaos
Pouvoir immortel
Émanant des tréfonds éternels
échappant au commun des être charnelle

Lumière
Lueur d'espoir
ou sentiment de pouvoir
C'est a l'humanité de la voir

Crépuscule
Lien entre le chaos et la lumière en toi
Puis viens l'heure ou tu choisi soit
De sombrer ou illuminer ta voix
Ou bien comme moi
De faire de ces deux voies
Ton choix

Douce souffrance
Me courbant l'échine et le dos
Sous le poids des mots
Déversé a outrance

Je ne suis qu'un être insignifiant
Je me suis inventé
Mais je n'ai pas de personnalité
Et aujourd'hui je trouve sa marrant

L'amour est ma malédiction
Je la pourchasse elle me fuit
Si je l'attrape elle me cris
Que cela recommencera et sera ma punition

Si ton sourire reflète ton humeur
Ton sourire serait une fleur
Une rose aux mille couleurs
Celle rappelant le bonheur

Tu fait balancer mon cœur
Comme l'horloge sonnant le quart d'heure
J'aimerais faire fuir tes peurs
Avant que se monde ne t'écoeur

Car cela serait un grand malheur
Que ton sourire s'efface dans mon cœur
Et fasse fuir ce bonheur

Mon coeur te désir
Mais ma raison continue a me retenir

Ma bouche ne possède plus aucune parole
Mes main sur cette feuille déroule ce rôle

J'implore ton pardon pour ma lacheter
Mais vois tu j'ai peur de perdre même notre amitié

L'expérience me la déjà montrer
Et pour rien au monde je voudrais recommencer

Maintenant tu connais les sentiment qui me hante
Et de te les dire fut une longue attente.

Ma plume se fanne
car aujourd'hui je meurs,
Oui, pour cette femme,
qui m'a volé mon coeur.

Je fait pousser des fleurs
que de belles roses,
j'en ferais mon cerceuil,
car tout est morose.

Je t'ai donner mon coeur, mon âme
j'ai déjà déclarer ma flamme,
aujourd'hui, je vais tout oublier

Ma plume se fanne
j'ai perdu mon âme,
je suis mort apaisé

Je suis le fou
Je tire dans mon dos votre malheur
Celui qui vous écœure
Et si jamais je tourne le dos je fait miens ce malheur
L'amour à périt dans mon cœur
Comme fâne les pétales d'une fleur
Il est vrai que la mort me fait peur
Mais celle que j'aime m'a quitter tout à l'heure
Je voulais être le roi et je suis condamné
Condamné à être le fou

J'ai tout compris sur la société et le monde et si je devais vous l'expliquer se serait avec les mots les plus immondes. C'est pourquoi je subit cette peine et cette vérité qui m’inonde. Mon silence sera le prix de votre liberté dans quelques secondes.

Ici je ne parle pas de moi mais bien du bouffon des roi des temps médiévaux. Ces hommes était prit pour des idiots car il était les seul à pouvoir dire et comprendre que le pouvoir en place se moquait du monde et si jamais il dépassais les limites ceux-ci était condamnés. Leur "silence" en quelque sorte puisqu'il disent ce qu'il pensent en le faisant passer pour des blagues, permet de protéger en partie le peuple.

Pion pauvre travailleur dévoué à notre société
J'envie ta manière d’exister
Tu pense possédé ta liberté de pensé
Et je t'envie de ne pas savoir que cela n'est pas vrai
Mais ne t'inquiète  pas car ceux qui pense nous dirigés
Sont aussi concernés
Au final que l'on est une couronne, un beau cheval
Que l'on soit un rempart, un être incompris
Nous sommes et resterons des pions sur l’Échiquier de la vie.